Clerel en concert intime au Festival International de Jazz de Montréal 2020
Clerel se sert désormais de son oreille mélodique et de sa sensibilité poétique pour créer des chansons simples aux sonorités qui évoquent la soul, le R&B ou le highlife.
Clerel se sert désormais de son oreille mélodique et de sa sensibilité poétique pour créer des chansons simples aux sonorités qui évoquent la soul, le R&B ou le highlife.
Le racisme est présent partout. Oui, aux États-Unis, mais également au Canada, ce qui n’exclut pas le Québec. Mais pour comprendre le présent et bâtir un meilleur futur, il faut connaître notre passé, il faut apprendre notre histoire.
Avec ce capitalisme sauvage, il n’y a pas de justice sociale, la révolte se révèle des plus violente.
Depuis ce 25 mai 2020, dans le sillage de la mort de George Floyd, les métropoles à travers le monde s’enflamment. New York, Los Angeles, Atlanta, Calgary, Toronto, Montréal s’indignent visiblement à ce que l’on nomme « bavure policière ».
Le Burundi, qui a connu l’emprise allemande, puis belge annonce enfin une première transition démocratique de son Histoire riche avec la déclaration du candidat Évariste Ndayishimiye comme vainqueur de l’élection présidentielle du pays d’Afrique de l’Est
L’ile de Trinidad (Trinité-et-Tobago), un État insulaire des Caraïbes, fait actuellement l’objet d’une enquête par les États-Unis pour déterminer si l’administration de Keith Rowley, premier ministre actuel de Trinité et Tobago, a défié les sanctions américaines contre le Venezuela.
De partout des voix s’élèvent à travers le Monde Noir pour s’unir et agir, pour condamner et combattre toutes les manifestations de racisme dont les nôtres sont victimes sur tous les Continents de la part d’individus ou de gouvernements, qu’ils soient Asiatiques, Américains, Européens, Indiens ou Arabes.
Frederik Willem de Klerk, dernier président de la République Sud Africaine non démocratique, pendant le régime de l’Apartheid (1948-1997), malgré cela prix Nobel de la Paix 1993, refuse de qualifier l’Apartheid de crime contre l’humanité.
La réalité aujourd’hui est que personne ne pouvait prévoir il y a juste 6 mois qu’un virus nommé COVID-19 pouvait bouleverser autant la géopolitique internationale obligeant les dirigeants du monde et leurs conseillers à une gestion tatillonne, hésitante, contradictoire, au jour le jour, faute de ne pouvoir envisager même ce que va se passer dans une semaine, voire dans un jour.
L'Encre Noir