Dans cette nuit du 6 au 7 juillet 2021, un groupe d’hommes comportant au moins 21 mercenaires colombiens et quelques américano-haïtiens pénètre chez le Président haïtiens. Ils le tueront sauvagement. On lui casse les bras, lui crève un œil, le crible de douze balles.
Les forces armées tchadiennes ont stoppé le pays en annonçant qu’Idriss Déby, 68 ans, était décédé des suites de blessures subies alors qu’il dirigeait des soldats en première ligne contre les rebelles du Front pour l’alternance et la concorde au Tchad (FACT)
Le gouvernement québécois joue à un jeu dangereux. François Legault y installe, tout doucement, comme on dit, une atmosphère propice aux dérives raciales avec Benoit Charrette comme Ministre québécois responsable de la Lutte contre le racisme. Le dialogue de sourd se poursuit.
Le Burundi, qui a connu l’emprise allemande, puis belge annonce enfin une première transition démocratique de son Histoire riche avec la déclaration du candidat Évariste Ndayishimiye comme vainqueur de l’élection présidentielle du pays d’Afrique de l’Est
L’ile de Trinidad (Trinité-et-Tobago), un État insulaire des Caraïbes, fait actuellement l’objet d’une enquête par les États-Unis pour déterminer si l’administration de Keith Rowley, premier ministre actuel de Trinité et Tobago, a défié les sanctions américaines contre le Venezuela.
Cette année, après le docteur Denis Mukwege en 2018, le comité Nobel a déclaré que pour son initiative en vue de résoudre le conflit frontalier avec l’Érythrée, le Premier ministre éthiopien, Abiy Ahmed, se méritait le convoité prix Nobel de la Paix.
Comme les années électorales précédentes, les afrodescendants de Belgique se sont retrouvés nombreux sur les listes électorales. Comme en 2014, ils sortiront déçus des élections de 2019.
Récemment, le triomphe de Paul Biya au Cameroun, avec un « score africain » de 71 % des voix, vient rappeler aux plus naïfs d’entre nous que les élections dans bons nombres de pays africains ne sont qu’un dîner de cons
À la grande surprise de tous, et surtout conformément à la Constitution du second plus vaste pays d’Afrique, Joseph Kabila Kabange ne se représentera pas aux élections présidentielles de la République démocratique du Congo (RDC) prévues en décembre 2018.
