Malgré tous les efforts mis pour camoufler un malaise ethnique toujours collé au défilé de la Saint-Jean Baptiste à Montréal, un char tiré par des Noirs en a surpris plusieurs
C’est au 19e siècle, pendant le déferlement colonial que le christianisme s’est largement implanté en Afrique noire. Asseoir cette nouvelle religion ne se faisait pas sans impacts psychologiques, voire une crise identitaire pour le Nègre converti.
Les nouveaux esclaves ne sont même pas conscients de leurs états de servage dont les chaînes sont recouvertes de velours et revêtues de modernité.
Quotidiennement des millions de femmes noires étouffent leurs cheveux naturels sous une perruque, greffe, tissage, lissage et autres ingénieux moyens. Cette option qui leur permet d’avoir une apparence plus proche de leurs consœurs occidentales, est-il symptomatique d’un sentiment de rejet ou est-ce un réel choix délibéré?
La maire de Paris désirait interdire, amener devant la justice, les organisatrices d’un festival afro-féministe destiné majoritairement uniquement aux femmes noires.
Les positions sur l’Afrique, de Victor Hugo, auteur des Misérables, choquent. Il avance une Afrique sans Histoire, barbare qui ne peux exister sans l’aide du Blanc.
La semaine dernière, la France libérait d’un centre hospitalier d’Orléans du matériel médical vétuste en direction du Bénin. Un cadeau refusé par le pays ouest africain.
En Cote d’Ivoire, les conseillers régionaux et les membres du Comité Economique Social Environnemental Régional du Haut-Sassandra ont bénéficié d’un séminaire de renforcement de capacités
C’est durant ces spectacles que sont véhiculés représenter « toutes les tares définies par le regard des Blancs sur les esclaves Noirs: paresseux, insouciants, stupides et indolents »
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