L’entrepreunariat est une activité commerciale que bien des gens ont en tête sans oser y plonger activement. Cet exercice aventureux et certainement enrichissant sur plusieurs facettes d’une vie ne se fait pas sans planification quelconque. Cela est encore plus vrai lorsqu’on est un nouvel arrivant dans une terre capitaliste qui vous promet des richesses qui vous semblent pourtant si inaccessibles.
Arnaud Segla s’est longtemps penché sur la question du contraste des communautés issue de l’immigration versus l’ensemble. Ce Béninois qui a grandi au Gabon, étudié en France pour finalement atterrir au Canada en 2006, au Québec plus spécifiquement, en connaît long sur le sujet.
En faisant lui-même l’expérience des nombreuses difficultés qui attendent le nouvel arrivant, il propose un guide simple, efficace et surtout concret. Une entreprise ethnique en 40 heures propose a l’entrepreneur natif de l’immigration récente une voie à suivre, afin qu’en 40 heures son entreprise « ethnique », soit sur de solides et durables assises.
M. Segla a choisi le Québec comme point de départ à son analyse et espère toucher plus de gens dans un futur proche. Il pense déjà exporter son expertise à Toronto, l’Europe et son Afrique natal.
Contacté par l’Encre Noir, M. Segla, qui présentement offre ses services de consultant auprès de l’Ujamaa Initiative for Black Entrepreneurship (U.I.B.E) une organisation qui promeut l’entreprenariat dans la communauté anglophone Noire, évoque les différentes embûches auxquels aura à faire face l’arrivant. Hormis les statistiques d’emplois qui sont toujours défavorables à l’immigrant ici et ailleurs, vos qualifications ne seront pas nécessairement reconnues. Ici le choix est simple, soit retourner sur les bancs d’école afin de se normaliser, soit partir a son compte et faire rayonner son expérience déjà acquit.
[blockquote author= »Arnaud Segla » pull= »pullright »]On gagne à apprendre des autres.[/blockquote]
La solidarité des communautés noires y est aussi évoquée. Contrairement aux groupes asiatiques ou juifs qui soutiennent férocement leurs commerces, la communauté noire consomme sans ce souci de recycler leurs argents. Un effet destructeur, qui explique aussi la difficulté de pouvoir mobiliser cette communauté efficacement.
Pour remédier à tous ces désagréments économiques, M. Segla amorce dans son guide qui est offert gratuitement, par une connaissance fouillée de notre personne. C’est l’étape la plus importante puisque cela définira le type de service qu’on désire fournir interminablement dans la Fierté. « Ceci vous accompagnera toute votre vie et vous permettra de vous lever chaque jour avec la même envie de vous accomplir en affaires quelque soit les difficultés rencontrées. » Peut-on lire à l’heure 40 du guide intelligemment rédigé en division de 40 heures.
Pour être économiquement maître de votre destin et atteindre l’ultime heure 1, outillez-vous en consultant le guide gratuit [Une entreprise ethnique en 40 heures] d’Arnaud Segla. Une idée germera peut-être pour les frileux du monde des affaires?
A lire aussi
A découvrir ... Culture
Le Dernier Repas de Maryse Legagneur
Sous une musique de Jenny Saldago (Muzion), le film Le Dernier Repas de de Maryse Legagneur, nous trempe dans une …
Connaisseur Ticaso est de retour avec l’album Rap Life, la suite logique de l’excellent Normal de l’Est
Complètement disparu de la scène rap du Québec pendant plus de dix ans, le vétéran rappeur Connaisseur Ticaso a effectué …
Regard sur Kanaval le dernier film d’Henri Pardo
Le film Kanaval d’Henri Pardo soumet les interrogations de Rico, qui expose un conflit identitaire entre le migrant …