Que cherche t-ont à remuer !?
‘’Jeune Afrique ‘’dans sa dernière livraison de cette semaine, a fait ressortir un vieux dossier, un historique de l’affaire appelée base secrète ‘’B2 Namous’’ relatif à la présence française en Algérie jusqu’à 1978, dans un terrain près de Béni Ounif, qui servait à des essais d’armes biologiques. Jeune Afrique, précise que Abdelaziz Bouteflika n’a appris qu’en 1997 l’existence de cette base, conservée par l’armée française, en site d’essais d’armes chimiques, avec l’accord de Boumediene.
J.A, revient aussi sur la dernière visite du Président François Hollande en Algérie qui selon ce magazine, c’est soldée par la signature de nombreux accords de coopération économique et politique. Selon Jean-Dominique Merchet, journaliste à l’hebdomadaire français ‘’Marianne’’, parmi les textes paraphés par les deux délégations en présence des deux chefs d’État, un accord confidentiel a été signé dans le Top-secret. Selon ce journaliste cité par J.A, « La France va dépolluer un ancien site d’essais d’armes chimiques en Algérie que l’armée française a utilisé jusque dans les années 1970». Ledit site s’appelle — B2-Namous–
Le Magazine ‘’ Jeune-Afrique’’, ne s’arrête pas là, il continu, pour sortir une colère de Bouteflika qu’il cite, ‘’ En 1997, Bouteflika découvre le pot aux roses, il entre dans une colère noire.’’. Le Magazine poursuit pour révéler que Bouteflika était le dindon de la farce, le dernier à apprendre 35 ans après l’indépendance, que la France possédait une base d’armes chimiques en Algérie, jusqu’à 1978 ! Étonnante cette nouvelle ! Bouteflika, était d’abord le confident de Boumediene, et le bailleur de fonds du groupe des ‘Renseignements parallèle’ de -Rachid Casa- dira un ancien de la boite.
Selon les spécialistes qui ont suivi le dossier, la base B2-Namous était contrôlée par l’armée française, qui a mené, sous leur uniforme puis sous couverture civile, des expériences jusqu’en 1978. C’étaient les essais des obus, des mines, des grenades, des bombes et des missiles à munitions chimiques. Selon le coté français, des accords d’Evian qui ont scellé l’indépendance de l’Algérie, ont gardé de publication le volet secret de B2 Namous qui a fait l’objet d’une annexe, secrète, renouvelée en 1967 et en 1972. Or nous avons contacté M. Reda Malek ancien ministre du GPRA, il nous a affirmé qu’aucune close secrète n’a été l’objet d’un accord secret à Evian.
L’historique de cette base remonte à 1935, quant les militaires français ont choisis un plateau calcaire du Sahara algérien. « Bordé à l’est et au nord par les hautes falaises de Oued Namous» pour la création le centre d’expérimentation de Béni-Ounif. Appelé plus tard –B2-Namous. Dans cette base le colonialisme français en Algérie a produit, des armes chimiques, essentiellement à base de gaz moutarde et de phosgène. Selon le dossier secret que la France a fait ressortir et que le GPRA nie avoir pris connaissance, en 1962, l’or des négociations d’Evian, les représentants de l’armée française avaient insisté pour garder encore pour cinq années, les quatre bases situées au Sahara avec : B2-Namous, (Reggane, En-Ekker, Colomb-Bechar et Hammaguir).Selon le côté français toujours cet arrangement a l’objet d’une annexe secrète aux accords d’Evian. Alors aussi M. Benyoucef Benkhedda, de son vivant avait démenti, toutes closes secrètes négociées.
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